Second voyage au Costa Rica
Mardi matin: arrivée vers 6 heures à l'aéroport de Nantes Atlantique avec Aziliz. A l'autre bout du voyage, m'attend un camarade de classe que je n'ai pas revu depuis 29 ans: Oscar. C'est pour le revoir lui et quelques autres que je fais ce voyage.
L'avion se pose comme prévu,après 11 heures de vol entre Madrid et San José. Il fait très beau temps. Il me faut encore plus d'une heure pour sortir de l'aéroport. Dehors m'attendent Oscar et sa fille Michelle. Oscar est très grand et mince. Sa peau est plus sombre. Nous retrouvons dans le parking sa nissan de 1982. Elle est encore plus abimée que je ne le pensais. L'intérieur est presque désossé. Les portières ne ferment pas à clé. Le retour est long, même s'il y a moins de circulation que d'habitude. Tout le long du trajet me semble un chaos. Il n'y a plus de séparation entre les villes. Oscar séparation entre les villes et Oscar m'explique que beaucoup de ces quartiers sont aujourd'hui désertés par la population et occupés par des gens plus pauvres. C’est toujours la même histoire, on déplace la misère sans chercher à l’endiguer. Oscar a acheté sa maison il y a 4 ans. Elle était aux enchères. Il était le seul enchérisseur. La parcelle fait 120 M2. Les prix comme partout ont grimpé, et les parcelles se sont réduites. C'est une maison modeste avec 3 chambres. L’intérieur est « aménagé » comme celui d’un étudiant.
On s'arrête pour acheter des tortillas dans un soda. C'est un des rares endroits où on peut encore en acheter : Elles sont faites maison avec de la farine de mais jaune et fourré d'un fromage maison. Puis nous sommes arrivés dans le quartier de Guadalupe.
Oscar habite une maison au bout d'une impasse en pente. Au ré de chaussé, le garage et à l'étage une terrasse couverte qui mène à la maison.
L'avion se pose comme prévu,après 11 heures de vol entre Madrid et San José. Il fait très beau temps. Il me faut encore plus d'une heure pour sortir de l'aéroport. Dehors m'attendent Oscar et sa fille Michelle. Oscar est très grand et mince. Sa peau est plus sombre. Nous retrouvons dans le parking sa nissan de 1982. Elle est encore plus abimée que je ne le pensais. L'intérieur est presque désossé. Les portières ne ferment pas à clé. Le retour est long, même s'il y a moins de circulation que d'habitude. Tout le long du trajet me semble un chaos. Il n'y a plus de séparation entre les villes. Oscar séparation entre les villes et Oscar m'explique que beaucoup de ces quartiers sont aujourd'hui désertés par la population et occupés par des gens plus pauvres. C’est toujours la même histoire, on déplace la misère sans chercher à l’endiguer. Oscar a acheté sa maison il y a 4 ans. Elle était aux enchères. Il était le seul enchérisseur. La parcelle fait 120 M2. Les prix comme partout ont grimpé, et les parcelles se sont réduites. C'est une maison modeste avec 3 chambres. L’intérieur est « aménagé » comme celui d’un étudiant.
On s'arrête pour acheter des tortillas dans un soda. C'est un des rares endroits où on peut encore en acheter : Elles sont faites maison avec de la farine de mais jaune et fourré d'un fromage maison. Puis nous sommes arrivés dans le quartier de Guadalupe.
Oscar habite une maison au bout d'une impasse en pente. Au ré de chaussé, le garage et à l'étage une terrasse couverte qui mène à la maison.